- Au chef des chantres. Sur Yédoutoun. Psaume de David .
- Ah ! En Élohim, silence, mon être, mon salut vient de Lui !
- Lui seul est mon roc, mon salut, ma culmination ! Je ne chancellerai guère.
- Jusqu’où agresserez-vous l’homme ? Vous êtes des assassins, vous tous, comme un mur qui s’effondre, clôture croulante.
- Ah, de sa hauteur ils délibèrent pour le bannir ; ils veulent la tromperie. De leur bouche, ils bénissent ; en leur sein, ils maudissent. Sélah.
- Ah ! Pour Élohim, fais silence, mon être ; mon espoir vient de lui ! Ah !
- Il est mon roc, mon salut, ma culmination, lui ! Je ne chancellerai pas !
- Sur Élohim, mon salut et ma gloire ; le roc de mon énergie et mon abri sont en Élohim.
- Fiez-vous à lui en tout temps, ô peuples ! Épanchez votre cœur devant lui : Dieu est un refuge pour nous. Sélah !
- Certes, les fils d’Adam ne sont qu’une ombre vaine, les fils de l’homme – qu’une déception. Qu’on les mette sur la balance : ensemble ils pèsent autant qu’un souffle.
- Ne mettez pas votre confiance dans la concussion, et dans la rapine ne placez pas un vain espoir. Dût la richesse couler à plein bord, n’y attacher pas trop d’importance.
- Une fois Dieu l’a énoncé, deux fois je l’ai entendu : que la puissance appartient à Dieu. Oui Seigneur, tienne est ta bonté, car tu rémunères chacun selon son œuvre.