- Au Chef des chantres ; de David : L’Éternel est mon abri : comment me dites-vous : « Fuis vers la montagne comme un oiseau ?
- Car voici que les méchants bandent leur arc, fixent leur flèche sur la corde,
- pour la lancer, dans les ténèbres contre les cœurs droits. Si les fondements sont renversés, que peut faire le juste ? »
- L’Éternel dans son palais, l’Éternel, dont le trône est aux cieux, ses yeux regardent, ses paupières distinguent les fils d’Adam.
- L’Éternel éprouve le juste, mais le méchant et le partisan de la violence, il les hait de toute son âme.
- Il fait pleuvoir sur les impies des charbons ardents ; le feu, le soufre et un vent brûlant sont le lot qui leur échoit en partage.
- Car l’Éternel est juste, il aime ce qui est juste : quiconque est droit contemplera sa face.