Résumé:
Cette génération est celle des années 330 avant JC à 310 avant JC.
Suivant notre comptage, cette génération est la génération 31 associée au psaume 31. C’est dans ce psaume 31 que nous retrouvons donc une illustration des faits de cette génération.
La génération précédente a été marquée par le règne d’Alexandre le Grand. Celui-ci meurt au début de cette génération après avoir fait de nouvelles conquêtes. Ces campagnes militaires l’ont rendu maître d’un empire qui partant de la Grèce englobe l’Égypte, la Mésopotamie, la Perse et la porte de l’Inde.
Dans le Coran, Alexandre est appelé Dsoul-Qarnaïn pour cette raison qu’il alla d’un bout à l’autre du monde. Le mot « qarn » veut dire corne, et on appelle les extrémités du monde cornes. Lui, étant allé aux deux extrémités du monde, tant à l’orient qu’à l’occident, on l’appelle Dsoul-Qarnaïn.
Ainsi, si par le biais d’Alexandre, l’occident commença à apporter son empreinte en orient, l’orient fit de même sur l’occident. C’est plutôt sur la mise en contact de ces deux mondes, que sur l’empire lui-même qu’il se disloquera, que la marque d’Alexandre est prédominante.
En tout état de cause, Jérusalem se trouve au centre de ce nouveau monde ouvert par Alexandre. De nombreux Juifs s’installeront volontairement ou sous la contrainte dans les nouvelles colonies grecques et seront confrontés à cette nouvelle culture.
Le précepteur d’Alexandre le Grand fut un certain Aristote, disciple de Platon. La confrontation entre les deux cultures est de fait initialisée par Alexandre le Grand : La dichotomie entre la philosophie occidentale et la tradition juive (ou judéo-chrétienne) a souvent été exprimée métaphoriquement comme une rivalité entre Athènes et Jérusalem, la première incarnant la vérité rationnelle, et la seconde, la vérité révélatoire. En compétition féroce dans leur quête cognitive du Vrai, leur tension semble ne jamais pouvoir se résoudre.
Si la culture grecque a des apports indéniables sur le plan intellectuel, l’hellénisme sera un danger permanent pour les Juifs qui confrontés à la rationalité des sciences grecques et à la richesse et au cosmopolitisme des nouvelles villes grecques auront tendance à perdre de vue la tradition juive voire à la dissimuler. Déjà à cette époque se pose la question de l’assimilation aux Juifs confrontés aux promesses du nouvel empire.
Développement:
L’empire d’Alexandre
La génération précédente a été marquée par le règne d’Alexandre le Grand.
Celui-ci meurt au début de cette génération après avoir fait de nouvelles conquêtes. Ces campagnes militaires le rendre maître d’un empire qui partant de la Grèce englobe l’Égypte, la Mésopotamie, la Perse et la porte de l’Inde.
Si Alexandre n’épargne pas les premières villes qui résistent à sa conquête comme Thèbes ou Tyr, la fragilité de son armée et surtout la faible population de la Macédoine le pousse à chercher les alliances avec les vaincus.
Dsoul-Qarnaïn
Ainsi, si par le biais d’Alexandre, l’occident commença à apporter son empreinte en orient, l’orient fit de même sur l’occident. C’est plutôt sur la mise en contact de ces deux mondes, que sur l’empire lui-même qu’il se disloquera, que la marque d’Alexandre est prédominante.
Rappelons qu’Alexandre le Grand, d’après Tabari, est cité sous le nom de Dsoul-Qarnaïn dans le Coran :
- Et[1] ils t’interrogent sur Dsoul-Qarnaïn. Dis : « Je vais vous en citer quelque fait mémorable ».
- Vraiment. Nous avons affermi sa puissance sur terre, et Nous lui avons donné libre voie à toute chose.
- Il suivit donc une voie.
- Et quand il eut atteint le Couchant, il trouva que le soleil se couchait dans une source boueuse, et, après d’elle il trouva une peuplade impie. Nous dîmes : Ô Dsoul-Qarnaïn ! Ou tu les châties, ou tu uses de bienveillance à leur égard.
Tabari en donne l’explication suivante :
- Alexandre[2] est appelé Dsoul-Qarnaïn pour cette raison qu’il alla d’un bout à l’autre du monde. Le mot « qarn » veut dire corne, et on appelle les extrémités du monde cornes. Lui, étant allé aux deux extrémités du monde, tant à l’orient qu’à l’occident, on l’appelle Dsoul-Qarnaïn.
La représentation sous forme de cornes de l’orient et l’occident peut se justifier surtout si l’on considère comme point central Jérusalem. Alors, Athènes et Babylone les deux capitales antiques de ces entités que sont l’occident et l’orient forment alors l’extrémité de deux cornes qui prennent naissance à Jérusalem. Cornes qui prendront réellement leur ampleur lorsque l’Occident créera son centre de gravité à Rome et l’Orient à La Mecque.
En tout état de cause, Jérusalem se trouve au centre de ce nouveau monde ouvert par Alexandre.
L’héritage d’Alexandre
Alexandre[7] est en effet un bâtisseur, la légende lui attribue la fondation de soixante-dix villes « Alexandrie » soit autant que le nombre de nations de la terre suivant la Genèse. Nombreuses de ces Alexandrie sont en fait d’anciennes villes rebaptisées. Mais au moins sept sont de l’initiative d’Alexandre : Alexandrie d’Égypte (331 avant JC) qui aura un rôle majeur dans l’histoire des juifs pour les prochains siècles, Alexandrie du « Caucase » (330 avant JC), Alexandrie d’Oxiane (329 avant JC), Alexandrie des Sogdes, ou de l’Indus (325 avant JC), Alexandrie des Orites (325 avant JC) et Alexandrie de Susiane (324 avant JC).
C’est en voulant fonder une nouvelle Alexandrie sur le site de Babylone, qu’Alexandre trouve la mort. Il était né à l’extrémité de la première corne (La Macédoine est à proximité d’Athènes), il meurt à l’extrémité de la deuxième (Babylone) :
- Il[8] (Alexandre le Grand) fut le fondateur de plusieurs cités (Les villes d’Alexandrie). Peu de temps avant sa mort il avait quitté Babylone en bateau. Il partit avec ses ingénieurs pour étudier comment l’Euphrate, qui sinuait pour se perdre dans des marécages et des lacs, pouvait fournir une source d’irrigation aux agriculteurs. Sur le chemin du retour, il repéra un site idéal pour une cité et il ordonna qu’il en fût créé une à cet endroit même. Souvent, les soldats qui avaient combattu dans ses armées se retiraient dans ces nouvelles villes lorsqu’ils prenaient leur retraite. Les égouts de Babylone se déversaient dans les canaux sur lesquels Alexandre vogua ce jour-là. Peu après il tomba malade et fit en proie à une terrible fièvre ; sans doute avait-il succombé à la malaria.
Si l’empire construit ne durera pas, l’union de l’orient et de l’occident de l’époque au sein d’une même autorité laissera des traces indélébiles encore décelables dans le monde actuel :
- Alexandre[9], ce « météore de l’histoire », laisse un empire qui se veut universel. Ingouvernable, il se scindera rapidement en plusieurs royaumes. Toutefois, il ne faut pas y voir un échec. La « geste » d’Alexandre a étendu la civilisation grecque presque jusqu’aux bornes du monde, alors connu. Cet empire a ouvert le monde. Avec l’expédition d’Alexandre et l’installation des colons grecs et macédoniens dans des régions auparavant étrangères au monde hellénistique, les limites du monde sont repoussées. En une génération, la surface habitée de la terre double ! Dans le même laps de temps, le monde rétrécit : les voyageurs se multiplient. Lorsqu’on suit l’itinéraire d’Alexandre le Grand sur une carte du Moyen-Orient contemporain, on s’aperçoit vite que les routes et les voies ferrées empruntent les pistes foulées par les armées d’Alexandre, de Mossoul à Bagdad, de Persépolis à Hamadhan, de Kandahar à Kaboul, et de Kaboul à l’Ouzbékistan soviétique. Les hommes du XXe siècle circulent encore sur les traces du conquérant. 2300 ans après ! L’épopée d’Alexandre, comme celle de Christophe Colomb, ont modifié définitivement le cours de l’Histoire. Alexandre a changé la destinée du Moyen-Orient ; l’Hellénisme fera le lit d’un autre empire, celui de Rome, et « ouvrira des voies providentielles au christianisme ».
La confrontation des cultures
De nombreux Juifs s’installeront volontairement ou sous la contrainte dans les nouvelles colonies grecques et seront confrontés à cette nouvelle culture.
Rappelons que le précepteur d’Alexandre le Grand fut un certain Aristote, disciple de Platon. Aristote meurt en exil un an après Alexandre soit pendant la génération qui nous intéresse. La confrontation entre les deux cultures est de fait initialisée par Alexandre le Grand :
- La dichotomie[10] entre la philosophie occidentale et la tradition juive (ou judéo-chrétienne) a souvent été exprimée métaphoriquement comme une rivalité entre Athènes et Jérusalem, la première incarnant la vérité rationnelle, et la seconde, la vérité révélatoire. En compétition féroce dans leur quête cognitive du Vrai, leur tension semble ne jamais pouvoir se résoudre.
Si la culture grecque a des apports indéniables sur le plan intellectuel, l’hellénisme sera un danger permanent pour les Juifs qui confrontés à la rationalité des sciences grecques et à la richesse et au cosmopolitisme des nouvelles villes grecques auront tendance à perdre de vue la tradition juive voire à la dissimuler.
Déjà à cette époque se pose la question de l’assimilation aux Juifs confrontés aux promesses du nouvel empire.
Faut-il adhérer complètement à la culture grecque et abandonner sa tradition ?
C’est contre ce miroir aux alouettes que David s’exprime dans le début de ce psaume où il réaffirme la fidélité de son peuple à l’Éternel et en demandant à ce dernier de l’affermir dans ce choix contre les tentations de la nouvelle ère grecque :
- Au Chef des Chantres, Psaume de David.
- En Toi, Seigneur, je m’abrite ! Puissé-je n’être jamais déçu ! Dans ta justice, retire-moi du danger.
- Incline vers moi ton oreille, délivre-moi promptement, sois pour moi un rocher tutélaire, une forte citadelle qui puisse me protéger
- (des tentations grecques).
- David réaffirme son choix de la fidélité à Dieu mais sait que la tentation grecque (la « philosophie ») est d’ores et déjà un écueil dangereux pour les Juifs et le judaïsme.
- Car Tu es bien mon rocher et ma citadelle, et pour l’amour de Ton nom Tu me guides et me diriges.
- Tu me dégageras du filet qu’on m’a dressé, puisque Tu es ma sauvegarde.
- L’assimilation tentante dans la nouvelle culture grecque est un danger plus pernicieux que les guerres,
- En Ta main je confie mon esprit, (…)
- Cette affirmation affirme bien quelle est la nature du danger, ce n’est pas celui d’une armée mais plutôt celui lié aux idées.
- (…) Tu me délivres, Éternel, Dieu de vérité.
- Je hais ceux qui s’attachent à de vaines idoles ; (…)
- Les Grecs malgré l’acuité de ses philosophes restent un peuple et une civilisation idolâtre. Il faudra plusieurs siècles à leurs successeurs, les Romains, pour s’extirper de ce culte au profit du monothéisme chrétien.
- (…) pour moi, je mets ma confiance en l’Éternel.
- David réaffirme son adhésion à la « vérité révélatoire », celle liée au message divin délivré au Sinaï.
Cette civilisation grecque, qui inclut la succession romaine, dans laquelle le peuple Juif va être aspiré initialise une longue période de plus de deux mille ans pour laquelle vont alterner pour le peuple Juif périodes d’espoir et périodes de désillusion. Périodes d’opulence où le peuple d’Israël vit en symbiose au sein de ce nouvel empire et périodes de misère et d’oppression du peuple d’Israël par les peuples de cet empire.
Cette civilisation donnera naissance au Christianisme puis à l’Islam, religions qui alterneront périodes de fraternité avec le Judaïsme et périodes de confrontation.
Alexandre fut un temps si populaire auprès des Juifs que son nom devint un des prénoms Juif les plus prisés. Quelques générations plus tard, le bilan, ou tout du moins celui des successeurs d’Alexandre, est présenté bien autrement par le rédacteur des Macchabées :
- Alexandre[11] le Grand, fils du roi Philippe, a quitté son pays, la Macédoine, pour faire la guerre. Il a vaincu alors Darius, le roi des Perses et des Mèdes, et il est devenu roi à sa place, tout d’abord dans le royaume grec. Alexandre a beaucoup combattu, il a pris les villes bien protégées et a fait tuer les rois de ces régions. Il est allé jusqu’au bout du monde et a pillé de nombreux pays. Il a établi la paix partout, mais il est devenu orgueilleux et méprisant. Il a rassemblé une armée très puissante et il a mis sous son pouvoir des provinces, des peuples et leurs chefs. Puis il les a obligés à lui verser des impôts.
- Après cela, il est tombé malade et a senti qu’il allait mourir. Il a fait venir ses généraux, des nobles qui avaient été élevés avec lui depuis son enfance. Il a partagé son royaume entre eux pendant qu’il vivait encore.
- Alexandre a été roi pendant douze ans, puis il est mort. Ses généraux ont pris le pouvoir, chacun dans la région qui était la sienne. Tous ont porté la couronne de roi après sa mort. Leurs fils ont agi de la même façon pendant de nombreuses générations. Cela a fait le malheur de toute la terre.
C’est l’ensemble de cette confrontation que David dépeint dans la suite du psaume :
- Je serai heureux et en joie par ta bonté, puisque Tu as vu ma misère, reconnu les tourments de mon âme.
- Tu ne m’as pas livré au pouvoir de l’ennemi ; Tu as mis mes pieds au large.
- Malgré les tentations de l’assimilation, le peuple Juif traversera les âges jusqu’à l’ère actuelle sans jamais réellement céder au renoncement de sa foi même si à chaque génération de nombreux Juifs finiront à titre individuel à s’éloigner de la foi ancestrale.
- Sois-moi propice, ô Seigneur ! Car je me trouve en détresse. Par le chagrin ma vue s’est usée, ainsi que mon âme et mon corps.
- En effet, ma vie s’écoule dans la peine, mes années dans les gémissements ; ma vigueur est tombée à cause de mon iniquité, mes membres sont à bout de force.
- À cause de tous mes ennemis, je suis un objet d’opprobre, de grand opprobre pour mes voisins, une cause de terreur pour mes intimes. (…)
- Les générations qui vont s’écouler sous la domination occidentale seront autant d’épreuves pour le peuple d’Israël qui verra se succéder de nombreux ennemis voulant sa perte sur le plan physique (mon corps) et moral (mon âme). Aucun ne réussira, mais les coups portés seront à chaque fois terribles. Au point que les peuples qui côtoieront le peuple Juif au cours de ces longues générations, considéreront avec dédain le peuple d’Israël, considérant que son sort est dû à une malédiction méritée dont ils seront pourtant les acteurs.
- (…) Ceux qui me voient dans la rue s’écartent de moi.
- Mon souvenir disparaît des cœurs comme celui d’un mort, je suis tel qu’un vase perdu.
- Oui, j’entends les mauvais propos de la foule, répandant la terreur à l’entour, quand on se ligue ensemble contre moi, complotant de m’enlever la vie.
- Pendant toutes ces générations, les Chrétiens considéreront le peuple Juif comme un peuple fossile, témoin de la vie de Jésus, témoin également de la déchéance due à la non-adhérence du peuple Juif aux thèses nouvelles. Le Christianisme ne se contentera pas de cela, à de nombreuses reprises, celui-ci tentera d’éliminer définitivement le Judaïsme là encore sans succès, même si les plaies générées furent douloureuses. L’Islam issu du christianisme reprendra ces théories à son compte.
- Moi, cependant, j’ai confiance en Toi, Seigneur, je dis : « Tu es mon Dieu ! »
- Mes destinées sont dans ta main : délivre-moi de mes ennemis et de mes persécuteurs.
- Fais luire Ta face sur ton serviteur, secours-moi par ta grâce.
- Seigneur ! Que je ne sois point déçu quand je T’invoque ! Que les méchants, eux, soient confondus et réduits au silence du Cheol !
- Qu’elles deviennent muettes, les lèvres menteuses, qui parlent avec insolence contre le juste, par excès d’orgueil et de mépris !
- Malgré les attaques, le peuple Juif n’abdiquera pas quelles que soient les conditions de vie imposées et gardera sa confiance entière en l’Éternel y compris pendant les périodes les plus dures de persécution. Les violences verbales étant plus assassines que les violences physiques.
- Ah qu’elle est grande Ta bonté, que Tu tiens en réserve pour tes adorateurs, que Tu témoignes à ceux qui ont foi en Toi, en face des fils de l’homme !
- Tu les protèges, à l’abri de Ta face, contre les intrigues des gens, Tu les mets à couvert, dans ta tente, contre la guerre des langues.
- Les premières générations de la nuit ont été l’occasion pour le peuple juif de s’égarer à de nombreuses reprises au niveau de la foi. À l’issue de celles-ci, la foi est maintenant bien ancrée (à couvert dans la tente) et peut résister aux attaques extérieures (guerre des langues). Cette résistance sera efficace même lorsque le temple aura disparu et que le peuple d’Israël entrera à nouveau en exil.
- Loué soit le Seigneur, car il a fait éclater sa bonté pour moi, en une ville fortifiée !
- Et je disais, moi, dans mon trouble : « Je suis banni loin de tes yeux ! » Mais tu as entendu ma voix suppliante, lorsque je T’implorais.
- Aimez l’Éternel, vous tous, ses pieux adorateurs ! Le Seigneur veille sur ceux qui sont fidèles, mais il paie avec usure quiconque agit avec orgueil.
- Soyez forts, ayez le cœur ferme, vous tous qui espérez en l’Éternel.
- Cette confiance ne sera pas vaine, car Dieu finira par se souvenir de son peuple et interviendra enfin lorsque les derniers coups de boutoir seront apportés au peuple Juif alors de retour sur sa terre. Le peuple Juif resplendira à nouveau sur le monde éclairé par la lumière divine. À ce même moment seront mis en jugement les ennemis d’Israël.
Cette génération fait partie de la 1ère garde de la nuit (générations 1 à 49).
Elle est donc associée à une malédiction du Lévitique (malédictions 1 à 49).
Soumis aux successeurs d’Alexandre, le peuple d’Israël entame une nouvelle ère pendant laquelle il va être sous la domination des descendants d’Esaü. Ceux-ci, sous des prétextes divers, exerceront la haine, héritée de celui-ci envers Jacob, aux descendants de ce dernier.
La génération 31 de la nuit est sous l’emprise de la malédiction 6 du Lévitique :
- Ceux qui vous haïssent vous domineront.
Paul David
[1] CORAN Chapitre 18, versets 83 à 86
[2] TABARI « De Salomon à la chute des Sassanides », Chapitre Histoire de Dsoul-Qarnaïn et construction du mur de Yâdjoudj et Mâdjoudj.
[7] Suivant « Une histoire des Hébreux » de Richard Lebeau. Chapitre « Israël face à l’Hellénisme ».
[8] Chaïm Potok, « Une histoire peuple Juif »/Livre II/Les guerres aux confins du Monde
[9] Richard Lebeau « Une histoire des Hébreux ». Chapitre « Israël face à l’Hellénisme ».
[10] (Sous la direction de) Jean Baumgarten et Julien Darmon : « Aux origines du judaïsme ». Chapitre de Frederek Musall : « Faire entrer la philosophie dans la tradition ». (p. 128)
[11] I MACCABEES Chapitre 1, versets 1 à 9